Notre contribution est le fruit d’un travail de plusieurs mois, mené avec rigueur, engagement et détermination. Elle s’appuie sur la participation bénévole de chercheurs, de naturalistes, et de nombreux citoyens mobilisés, tous animés par un même objectif : rétablir une vérité dévoyée par une étude d’impact lacunaire et insuffisamment argumentée.
Ce travail est aussi collectif. Il a rassemblé les efforts des associations membres du collectifs des Sentinelles des Garrigues, du COGard, De la société Protectrice de la Nature , et de bien d’autres volontaires que je tiens ici à remercier sincèrement. Leur expertise, leur disponibilité et leur conscience écologique ont été précieuses.
C’est aussi et enfin le résultat d’un long et laborieux travail de recherche, de longues nuits blanches, pour rassembler faits, textes de loi, directives et documents réglementaires, afin de démontrer avec clarté que ce projet est juridiquement infondé. Face à une possible dérive, nous n’opposerons pas la colère, mais la force du droit et du respect de notre patrimoine commun.
Nous n’acceptons pas qu’un projet destructeur soit imposé sous couvert d’utilité publique mal définie. Nous sommes nombreux à dire non à la dévastation de notre forêt méditerranéenne, et oui à la loi, à la transparence et à la préservation du vivant.
Ce travail est loin d’être terminé, les études, les observations se poursuivent …