Axe 3 : Créer une offre inédite à travers le développement de « QUARTIERS ACTIFS DURABLES » à travers les projets de renouvellement urbain
intégrant pleinement le principe de sobriété foncière édictée par la loi Climat et Résilience et le SCoT Sud Gard, de la Porte Sud à Caissargues, de la Porte Ouest à Nîmes et de la Porte Est Marguerittes- Nîmes.
Analyse:
📌 1. L’objectif central : créer des “quartiers actifs durables”
Cela signifie :
Des quartiers mixtes (logements, services, économie locale)
Intégrés dans la trame urbaine existante (pas des extensions en garrigue ou en friche)
Respectant les enjeux climatiques, énergétiques, et écologiques
👉 Traduction politique : la métropole cherche à éviter l’étalement urbain, à requalifier l’existant, et à mieux utiliser le foncier déjà urbanisé.
📌 2. La référence explicite à la “sobriété foncière”
C’est un principe juridique de la loi Climat et Résilience (2021) et du ZAN (Zéro Artificialisation Nette).
Cela implique de stopper la consommation de nouveaux sols naturels sauf impératif exceptionnel.
👉 Cela renforce l’opposabilité du PCAET à tout projet d’urbanisation sur des terrains vierges (comme à Peyrouse–De Marcieu).
📌 3. Un ancrage territorial clair : Marguerittes est en “porte Est”
Marguerittes est explicitement citée comme zone stratégique où appliquer ces principes.
L’ambition est d’en faire un territoire vitrine de la transition : exemplaire, sobre, et innovant.
👉 Cela oblige la commune à être exemplaire dans ses décisions d’aménagement. Urbaniser un terrain naturel ou en colline contredit directement ce rôle de “porte Est” durable.
📌 4. Une cohérence entre documents d’aménagement obligatoire
Le PCAET est un document opposable :
Politiquement (car il engage l’intercommunalité)
Juridiquement (car il influence le SCoT et, indirectement, les PLU)
👉 Toute décision locale (comme une modification du PLU pour ouvrir de nouveaux terrains à l’urbanisation) doit être compatible avec ce PCAET.